vendredi 17 janvier 2014

Turquie 2014 - Recep Tayyip Erdogan (AKP)

photo prise le 17/01/2014 par Rachid Zegzaoui pour la Tractothèque, l'affiche se trouvait sur la vitrine d'un café turc situé sur la rue du Méridien à Saint-Josse

traduction: Le Grand Leader des Turcs européens (photo) Le 20 janvier nous accueillons notre premier ministre Recep Tayyip Erdogan (adresse à Bruxelles)

on notera en haut à gauche le logo et les initiales de l'UETD, Union of European Turkish Democrats, le lobby AKP en Europe occidentale

1 commentaire:

Pierre-Yves Lambert a dit…

3.000 partisans accueillent Erdogan à Bruxelles

Rédaction en ligne
Mis en ligne mardi 21 janvier 2014, 0h42

En visite pendant deux jours, le Premier ministre turc vient défendre son projet de réforme de la justice.

En visite à Bruxelles, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, empêtré dans la plus grave crise politique de son règne de onze ans, tente de désamorcer les critiques suscitées par sa récente réforme judiciaire très contestée.

Environ 3.000 manifestants pro-Erdogan, selon une estimation de la police, se sont rassemblés lundi soir sur la place Stéphanie, afin d’apporter leur soutien à Recep Tayyip Erdogan, de passage dans la capitale durant deux jours. Le ministre a par ailleurs adressé une brève allocution à la foule. Aucun incident n’a été déploré.

Ambiance festive à Bruxelles
Les manifestants pro-Erdogan venus de toute la Belgique, se sont rassemblés sur la place Stéphanie aux alentours de 20 heures pour attendre la venue du Premier ministre turc, qui séjournera durant deux jours à l’hôtel Conrad. Recep Tayyip Erdogan s’est brièvement adressé à eux depuis un bus à impériale stationné sur la place Stéphanie.

Une centaine de volontaires assuraient le service de sécurité et il n’y pas eu d’incidents à déplorer. La police locale a toutefois dû suspendre la circulation des trams, qui ont repris leur trafic vers 23h30.

Le séjour de M. Erdogan dans la capitale européenne, le premier depuis cinq ans, avait initialement été conçu pour célébrer la relance des relations Turquie-UE. Mais le scandale de corruption qui menace le régime d’Ankara a bouleversé son ordre du jour.