Belgique francophone (Sénat) 1995 - Smaïl Sandjakedine (Ecolo)
source: Pierre-Yves Lambert, Les candidats d'origine extracommunautaire aux élections communales du 10 octobre 1994 et législatives du 21 mai 1995, Saint-Josse, [brochure publiée à compte d'auteur], 7 juin 1995
A l'époque, Smaïl Sandjakedine était un des employés au siège d'Ecolo.
"L'économiste liégeois d'origine algérienne Smaïl SANDJAKEDINE, 39 ans, permanent au siège namurois d'Ecolo, a obtenu 1.378 voix dans la province de Liège. Dans l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde, il s'est classé cinquième effectif en voix de préférence, dixième en Wallonie." (extrait de: Pierre-Yves Lambert, "Candidats et élus d'origine extracommunautaire aux élections européennes, communales, régionales et législatives de 1994 et 1995 en région bruxelloise", in: L'Année Sociale 1995, Bruxelles, Institut de sociologie, Université Libre de Bruxelles, 1996, p.267-291 ISBN 2-87263-163-1
A l'époque toujours, Ecolo limitait strictement les campagnes personnelles des candidats à des courriers, dont le contenu devait être approuvés par le secrétariat local, régional ou fédéral selon le type d'élection, et qui ne devaient être envoyés qu'aux cercles des connaissances des candidats.
A l'époque, Smaïl Sandjakedine était un des employés au siège d'Ecolo.
"L'économiste liégeois d'origine algérienne Smaïl SANDJAKEDINE, 39 ans, permanent au siège namurois d'Ecolo, a obtenu 1.378 voix dans la province de Liège. Dans l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde, il s'est classé cinquième effectif en voix de préférence, dixième en Wallonie." (extrait de: Pierre-Yves Lambert, "Candidats et élus d'origine extracommunautaire aux élections européennes, communales, régionales et législatives de 1994 et 1995 en région bruxelloise", in: L'Année Sociale 1995, Bruxelles, Institut de sociologie, Université Libre de Bruxelles, 1996, p.267-291 ISBN 2-87263-163-1
A l'époque toujours, Ecolo limitait strictement les campagnes personnelles des candidats à des courriers, dont le contenu devait être approuvés par le secrétariat local, régional ou fédéral selon le type d'élection, et qui ne devaient être envoyés qu'aux cercles des connaissances des candidats.
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